Dans la vox populi, il est de notoriété que les philosophes sont des fainéants qui passent leur vie derrière un grand bureau de chêne à réflechir et pinailler sur des choses qui n'intéressent qu'eux. :zzz:
Ceci dit, quand on fait de la philo (enfin, moi
, après, d'autres écoutent plus volontier la vox populi que le prof...
), on voit que ces reflexions sont 1) intéressantes 2) devrait avoir un impact sur nos actions et nos sentiments, et pas seulement sur nos pensée.
En fait, je dis la philo, mais c'est le cas de toutes réflexions posée.
Or, vous aurez remarqué que tout plein de raisonnement lors de l'interrogation, on en garde pas de trace (ou si peu) dans la vie.
Vivre ou penser, il faut choisir.
Evidemment, si on a le temps, si on
doit réfléchir avant l'action (bon, il y a des problèmes d'eau dans le monde, je peux aller à la piscine municipale qui est à deux pas, mes réelles raisons d'acheter une piscine creusé et de montrer ma richesse au voisin, dans ces conditions, je vais m'en abstenir...
), mais en général, nous sommes trop plein de sensations et de sentiments instantané dans ce qui nous entoure, que nous envisageons les évenements comme ils viennent : ce serait orgeuilleux de penser le contraire.
Et donc, dans ce cas, la philosophie sert-elle à quelque chose ?
...
... ben, si, quand même, parce que d'abord on a parfois le temps de réfléchir, et parce qu'ensuite, nos réflexions peuvent tout de même nous amener à une sorte d'"état"... qui fait alors parti, plus de notre opinion, de notre personalité...
Par exemple, moi, je me suis rendu compte il y a déjà u moment que j'étais toujours heureux...
Je ne suis pas en train de me dire à chaque seconde "Pépère, tu es heureux, Pépère, tu es heureux,...", mais tout ce qui m'arrive, je le prend bien..
... ché ne pensate ? :sad2: