Traduction française du texte prédédent
Le premier poème que j'ai fait :
Silvar, melinyel (Cylvar, je t'aime) ; traduction fidèle
Je suis étendu sous les ailes des arbres (feuilles)
Je regarde les dryades femelles et les dryades mâles
Cylvar
Les elfes de Cylvar jouent de la harpe sous le royaume des étoiles
Les étoiles lumineuses dansent en riant
Cylvar
Le Soleil brillant s'élève au-dessus du monde
Les beaux oiseaux chantent
Les grands arbres dansent
Cylvar est la plus belle !
Je regarde en riant sous la ronde lune
Les elfes danser avec le peuple ami des elfes
Cylvar
Les elfes de Cylvar chantent car ils sont heureux
Les oiseaux ne chantent pas pour écouter
Cylvar
Silvar, melinyel (Cylvar, je t'aime) ; traduction libre
Depuis l’arbre bleu
Jusqu’aux havre de la nuit
Je me sens heureux
De fouler le sol qui luit
Oh Cylvar !
Lorsqu’un elfe rit
A la lueur de la lune,
Cylvar nous sourit
En dessinant quelques runes
Oh Cylvar !
Ref :
Oh ma chère, ma belle Cylvar,
Oh Forêt Sacrée des Eldars,
Lorsque montent les étoiles du soir,
Rien n’est plus beau que toi !
Rien n’est plus beau que toi !
Dans les plaines fleuries
Où serpentent les rivières
Je danse et je ris
En buvant un peu de bière
Oh Cylvar !
Lorsqu’un elfe danse
Dans une clairière enchantée
Le vent souffle en cadence,
Les oiseaux se mettent à chanter !
Oh Cylvar !
Ref
Depuis l’orée du bois
Jusqu’à la forêt profonde
On baigne dans la joie
Et les arbres font la ronde !
Oh Cylvar !
Lorsqu’un elfe chante
Sous les étoiles dorées
Cylvar nous enchante
En les faisant toutes danser !
Oh Cylvar !
ref
Dans les cités elfiques
Aux tavernes du voyageur
Les chants sont magnifiques
On ne vois pas passer l’heure
Cylvar !
Lorsqu’un elfe joue
D’un instrument de musique
Tels des bijoux
Luisent les étoiles magiques
Cylvar !
(je sais que c'est plus long que la version quenya.)
Le poème que j'ai fait pour ma femme, Falleala.
Tya (toi) traduction libre et presque fidèle
Alors que j’étais mourant, tu m’aidas,
Tu me soigna et tu me sauvas
Du chagrin en me donnant ton amour
Falleala, je t’aimerai toujours
Ta chevelure bleue vole dans le vent.
Tes beaux yeux d’elfe luisent doucement
Tu marches en dansant, tu parles en chantant
Belle Falleala, je t’aime tant.
Je vins par-dela les monts argentés
Tu m’offrit une soupe par toi préparée
Tu me donna ta chambre et ton lit
Falleala, je t’aime à la folie !
Je revis enfin la douce mer,
En mon honneur, les oiseaux chantèrent
Je sentis le vent glisser sur ma peau
Douce Falleala, je t’aime trop !
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