Citation:
Le bout du compte c'est la mort du sujet (Jules)
Ben non, le bout du compte, quand on parle des réflexions de la machine, c'est la réalité, quelle qu'elle soit...
Citation:
La machine va analyser la réaction de Jules et calculer le nouvel assemblage qui va détérminer une réaction qui va détérminer un assemblage qui va déterminer une nouvelle réaction qui etc.
Oui, et alors, il me semble que c'est ce que je dis depuis le débu ?
Citation:
Le futur ne sera pas fixe et Jules ne verra sur l'écran qu'une succéssion de futurs possibles défilant à la vitesse de sa pensée. Il n'aura donc pas une réponse précise et son futur sera toujours aussi flou
Non parce que la machine n'attends pas la réaction de Jules, elle la calcule, donc elle ne lui montre jamais rien, car elle sait avance que ce qu'elle pourrait afficher serait faux...
Citation:
Mais je suppose que ta nouvelle, bien que se basant sur des théories fiables n'est pas une retranscription fidèle de la réalité des faits.
Donc tu pourras arrêter le "défilement" à un moment choisi pour rélater les faits qui se produiraient dans cette perspective. Un futur empirique en quelques sorte.
Ma nouvelle, si elle admet qu'une machine assez puissante puisse être créé, n'en reste pas moins fidèle à la "réalité".
J'avais pensé à l'arrêt, et c'est cela qui amenait l'idée de conscience de la machine : quel futur choisirait-elle d'afficher ? (tous étant impossible, il y en a une infinité, et puis le simple fait d'en afficher plusieurs les rends faux puisque cela en créé un autre, etc...) A moins que par défaut, le premier avenir, sans modification, soit choisis...
Mais la machine ne prends pas cela comme un "premier avenir modifié par le fait de le voir". Elle calcule, et elle voit que si les pixels de l'écran se mettent dans telle configuration, les neurones de Julles vont faire tel chose, etc... sans vraiment comprendre pourquoi...
La seul solution (et qui respecte las logiqueet la vraisemblance) est de programmer la machine pour qu'elle ne prenne pas en compte l'utilisateur, ou du moins toutes les particules se trouvant dans la pièce...)