Le grimoire d'Ulfer

C'est sûr...



Hé bien, justement, en définissant l'amour ainsi, d'un point de vue macrologique, je dirais, je veux en venir à dire que justement, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas ressentir un sentiment fort en deux exemplaires. On peut avoir plusieurs amis, et plusieurs bons amis, que je sache (enfin, dîtes-moi, sinon, parce que là je ne me prend pas directement comme exemple et donc mes informations sont de secondes mains ). Tu me diras c'est plus fort, ce qui n'est pas faux...
Mais imagine que je te tire une balle dans la jambe gauche (rien de personel... ). Normalement, on part du principe que tu as mal... . Bon, maintenant, je te tire la jambe droite.
Sur le coup, la douleur fulgurante du deuxième tir submèrge et noie l'autre, mais, quand elle arrive à son rythme de croisière, tu peux très bien ressentir deux douleurs énormes... (tadaaa, superbe analogie... )
Non, franchement, c'est vrai...

et puis, quand je vois : ,
C'est justement ce que je disait : le coeur c'est une pompe à sang, et je ne crois pas savoir que le cerveau a une case spéciale "grand amour" qui ai un usage unique...



Et une barrique ? Parce qu'une barrique, c'est pas un verre, et on peut transvaser et...comment ça, c'est pas la question ? Quoi, bourrique ? je te parle de barriques !...

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on peut tout à fait. Mais l'Amour c'est plus qu'un sentiment fort.
La différence entre un sentiment fort et l'Amour, c'est comme entre voir un éclair et etre frappé par l'éclair.


D'où la nuance de la jambe. Certes ton ananlogie est défendable; mais lorsqu'on te tire dans la jambe, ce n'est pas le summum de la douleur non ?...




le mot "coeur" a plus une valeur symbolique/métaphorique... je me doute bien que c'est pas la pompe à sang qui fait marcher tout ça...
Quant au reste, c'est plus qu'une "case"... c'est tout entier !!


en même temps, je le concède, je n'ai ni recul, ni certainement d'objectivité donc je suis fortement euh (arg comment ça se dit en français) "opinionated" !




arrête de picoler des barriques de bourriques en verre !

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Ή επιστήμη γίγνεται ώς
(la science devient des oreilles !)
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Ah...
Un sentiment très fort, alors ? . Mais ça revient au même...
Remarque, c'est un point de vue...
Pour moi, l'amour, c'est un sentiment fort, et si tu t'y laisses abandonner tout entier, c'est que c'est ta passion qui prend le contrôle...
C'est pour ça, je pense que l'amour "transcendant" c'est un truc de roman et de film, c'est super beau, mais ça n'est pas vrai.
Je ne dis pas que les humains ne pensent qu'au cul et qu'ils ne peuvent pas aimer, je pense que vouloir mettre l'amour au-dessus de tout ce qui existe est une idée de fleur-bleue lyrique et un peu naïf... c'est, une fois encore, mon point de vue, et il n'engage que moi.

De toutes façons, quand bien même certains de ces amours roméoetjuliettesque existeraient, que ça ne changerait rien aux généralités... qui, je pense, tiennent du sentiment fort, quelque hyperbole, parabole et discobole qu'on puisse utiliser...


En vers !
Génial !

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c'est peut etre ça, en effet....j'en sais rien, faudrait plus d'éxpérience pour en parler vraiment je suppose...



ah oui en vers bien sur !

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(la science devient des oreilles !)
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L'amour, encore et toujours...
l'indéfinissable, l'incodifiable, l'impétueux, le tortueux, l'anarchique, le magnifique, le passionnel, l'obséssionnel, le fugace, le tenace...
Aaahhh...l'amour....*soupir*....

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faut vraiment être poète pour savoir en parler
en une phrase notre ami vient de dire à peu près tout ce qu'il y a à dire dessus et qu'on a vaguement cerné en des posts à rallonge

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(la science devient des oreilles !)
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merci

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euh bon voila ça commence à devenir psy-grimoire mais autant y aller:

voila un truc dont j'aurais voulu parler un peu plus tôt, j'ai attendu et c'est pas passé:


il m'arrive fréquemment de me sentir troublé et de me mettre à rougir (oui je sais je me vois pas de face mais enfin on m'a déjà fait remarquer que mes oreilles étaient rouges, et j'ai souvent senti ma figure "tomber") sur des mots ou des discussions sans rien de gênant ou de choquant.

là où ça me gêne, c'est que d'un coup quelqu'un dit un mot, souvent le même, ou une personne me parle, et paf ! je me sens troublé, voir rougissant, sans raisons apparentes, sans que ce soit choquant ou dérangeant....
et donc c'est gênant non seulement parce que personnellement je ne sais pas ce qui se passe ( et je ne contrôle pas !! grr ), et aussi parce que, vis-à-vis des autres, ça doit faire assez bizarre je suppose...

mouais, ça fait "space" dit comme ça je trouve mais bon...


(ah ! on va finir par avoir ma biographie sur le Grimoire lol ! )

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Ce mot éveille-t-il en toi quelque chose de précis?
Un souvenir gênant, une expérience malheureuse ou un interdit parental que tu aurais franchi ou, pour autant que tu t'en souvienne, cela n'a aucun rapport avec une phase de ton passé?

Je vois arriver Herr Doktor qui va sans doute nous en dire plus.
À vous Herr Doktor.

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Famille veut dire que personne ne doit être abandonné

hum possible je vais essayer d'y reflechir ( c'est pas juste un seul mot, et c'est pas nécéssairement des mots c'est ce qui me gêne aussi, c'est pas vraiment "ciblé")

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Pour parler de moi ( je ne peux pas vraiment t'aider, mais j'aime parler de moi ), je crois que je ne rougis pas trop, disons que j'arrive à passer pour quelqu'un de zen, et mes oreilles ne sont pas visibles avec mes cheveux donc c'est cool.
Je raconte ma vie, je suis malade

J'arrive pas trop à voir ni à comprendre ce qui t'arrive, encore un cas non élucidé de la médecine...

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Ben oui, nous avons ici une rarissime espèce en voie de disparition: le Finrod.
Sinon, en ce qui concerne ton problème, c'est la première fois que je vois ça mais j'ai deja entendu des racontards comme quoi les gens qui sont tout le temps rouge, c'est une maladie.
Enfin, je crois pas que ce soit grave, c'est comme moi qui ne supporte pas d'entendre quelque chose que l'on aiguise (style un long couteau avec une barre en fer).
Je peux pas t'aider, désolé.

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Signature de la semaine: Le rien c'est deja tellement de choses.

Ça peut être l'ambiance ou le ton ou le sens que l'on met dans la phrase mais si cela t'occasionne un malaise c'est que quelque part un souvenir en rapport te hante.
Une fois que tu auras retrouvé ce souvenir et le pourquoi de la gêne, tu pourras envisager la demarche pour surmonter la gêne.
Evidemment c'est généralisé et il faut que tu te fasses une analyse sincère sur ce que ce mot ou cette ambiance ou ce ton reveillent comme souvenirs en toi.
C'est pas une demarche facile parce qu'il est possible que cela provienne d'une expérience que tu juge banale maintenant.
Exemple: la rentrée.
Aujourd'hui tu es peut-être très à l'aise pour entrer dans un nouvel établissement mais lorsque tu étais petit cela t'angoissait ce qui donne qu'aujourd'hui tu entres franchement dans un nouveau local mais tu as une appréhension incontrôlée et incontrôlable si on ferme brutalement une porte.

PS: j'ai bien réçu le chèque mais il n'y avait pas de somme.
Merci de bien vouloir corriger.

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Famille veut dire que personne ne doit être abandonné

Si tu es tout le temps rouge verifie deux trois truc:

1) Que tu ne dors pas dans le four (ça pourrais l'expliquer)
2) qu'un Rondoudou sauvage n'ait pas élu ta chambre pour territoire (on ne sait jamais)
3) tu dors à l'envers. (accroche-toi à un cintre)

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100% sans balise [img]

Finrodus floodocratus d'abord





merci du conseil ! j'essayerais de faire attention, et de mieux analyser et je pense que je finirais pas trouver! Je trouverais !




1) pas possible je suis dans le frigo !
2) ? gné ? quel rapport avec le pokémon ?
3) je me pends c'est ça ? après je suis pas rouge je suis bleu voire blanc mort ?

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(la science devient des oreilles !)
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