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Murphy & ses lois
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Auteur:  Fearon [ Lun Aoû 29, 2005 8:59 pm ]
Sujet du message: 

Tout ce qui me vient après ce récit touchant de sensibilité c'est :

"putain le con" :mrgreen:

désolé...

ahah...dans sa poche...ahah

s'éloigne en riant

...

Auteur:  Emma Indoril [ Lun Aoû 29, 2005 9:04 pm ]
Sujet du message: 

Finrod a écrit:
:lol:
toujours fouiller ses poches, a dit un Grand sage Chinois :mrgreen:


Citation:
des clés à molettes, des boulons de huit, la reserve de beu de mon frere, qui s'imagine que je sais pas ce que c'est
ta mère habite dans un garage ? :mrgreen: ( c'est quoi un beu ?)


Mais j'ai fouillé dans mes poches ! en premier !
c'est ça la loi de Murphy ! :shock:

la beu, c'est... heu... c'est ce qu'on met dans les oinj !
(demande à ta maman, tu verras comme elle sera ravie de t'expliquer Mai 68 !)

Auteur:  Finrod [ Lun Aoû 29, 2005 9:21 pm ]
Sujet du message: 

Citation:
la beu, c'est... heu... c'est ce qu'on met dans les oinj !
je vois ça ( c'est ce qu'on utilises pour boucher les joints du carrelagec'est ça :mrgreen: ( et après le parquet planne ? :mrgreen: )

Auteur:  Fearon [ Lun Aoû 29, 2005 9:23 pm ]
Sujet du message: 

C'est pourtant bien connu qui vole un oeuf vole un peu de beu...


*n'ai honte* :oops:


...

Auteur:  Vae-primat [ Lun Aoû 29, 2005 9:37 pm ]
Sujet du message: 

Ah, les histoires de clefs :lol:

Le patron m'envoie sur un chantier en me disant que les clefs se trouvent près de l'entrée à un endroit bien précis. (le proprio, un parano refuse de faire circuler des doubles =>il faut savoir que le barillet définitif n'est mis qu'en dernier pour éviter qu'on fasse des doubles => c'est donc une clef de chantier qui ne sert qu'à celà mais allez donc l'expliquer à un parano)
Donc avec mon équipe, je charge la fourgonnette (3,5 t de matériel) et me dirige vers le chantier qui se trouve à plus de 80km et en pleine cambrousse.
Une heure plus tard, sous une pluie diluvienne, nous cherchons la fameuse clef. Vingt minutes plus tard, ayant fouillé chaque coin on doit admettre qu'elle n'est pas là.
Je contacte mon patron, qui gueule comme un cochon qu'on égorge, et qui finit par contacter le client pour demander où se trouve la clef.
Le client affirme être parti avec => problème => il est en vacances dans le sud de l'Espagne et ne rentrera que deux jours plus tard.
Retour à l'atelier où un coup de fil, affolé, du proprio nous apprend qu'il ne retrouve pas la clef.
Appel à un serrurier pour ouvrir la porte du chantier le lendemain à l'aube.
Rire du serrurier et gêne conséquente de toute l'équipe, moi y compris => la clef était dans la serrure, le seul endroit où on a pas regardé :cry:

Auteur:  Fearon [ Lun Aoû 29, 2005 9:41 pm ]
Sujet du message: 

Heureusement que j'ai pas de clé, ça va m'évite de passé encore pour un débile notoire, ouf !

Auteur:  Finrod [ Lun Aoû 29, 2005 9:41 pm ]
Sujet du message: 

ahah excellent aussi :lol:

mais c'est vrai que c'est souvent l'endroit le plus simple auquel on ne pense pas...

Auteur:  Vae-primat [ Lun Aoû 29, 2005 9:47 pm ]
Sujet du message: 

Citation:
mais c'est vrai que c'est souvent l'endroit le plus simple auquel on ne pense pas...

Surtout si on t'a bien dit que l'objet en question se trouve à un endroit bien précis (sous une brique près de la descente des eaux pluviales)
Comme ladite descente n'est pas raccordée et qu'il pleut à seaux on piètine dans une mare de boue de plusieurs centimètres qu'on a passé au tamis sous une pluie battante :evil:

J'aurais étranglé le proprio avec délice si je l'avais eu sous la main :twisted:

Auteur:  Julianos [ Lun Aoû 29, 2005 9:54 pm ]
Sujet du message: 

je vous ai déjà raconté que j'avais retourné toute la maison à la recherche de mes lunettes qui étaient sur mon nez ? :mrgreen:

Auteur:  Raistlin [ Mar Aoû 30, 2005 1:31 am ]
Sujet du message: 

Il y a une quinzaine d'année ... je descend du metro et au moment que les porte ferme je me dis : et merde, mon sac à dos ... le train étant partie je ne vois pas d'autre choix que d'aller au renseignement et leur signaler que jai oublié mon sac ....

Je l'avais sur l'épaule :shock:

Auteur:  Pépère [ Mar Aoû 30, 2005 6:30 am ]
Sujet du message: 

Les lunettes et le sacs, c'est classique, c'est pas murphy, c'est qu'on fait pas gaffe.
La dernière fois, j'arrive devant un miroir pour me recoiffer. J'enlève mes lunettes. Je vois un mec flou en face de moi, alors je me demandes pourquoi ça me fait pas ça d'habitudes quand je veux me recoiffer. J'ai mis un bon moment avant de comprendre qu'il fallait que je remette mes lunettes et que j'enlève mon élastique. :mrgreen:

Auteur:  Vae-primat [ Mar Aoû 30, 2005 8:10 am ]
Sujet du message: 

Autre entreprise, autre histoire de clefs:

Dans le cadre d'une rénovation, on envoie une équipe, inexpérimentée en la matière, ramoner une cheminée. Les gars arrivent sur les lieux, déploient l'échelle, montent sur le toit, ramonent consciencieusement la cheminée en récuperant les suies par le regard ad hoc et s'en vont satisfaits.
Afin de parer à toute réclamation ultérieure, je suis convoqué avec mon équipe à la réception des travaux. On arrive donc le lendemain matin, un peu avant l'épouse du proprio (ce dernier ne peut manquer à son travail).
Après les civilités de circonstance, le patron ouvre la porte et, galamment, prie la dame d'entrer. Là on entend un grand cri et un corps qui tombe. On se précipite pour aider la dame et on se retrouve dans une maison ayant, dans chaque pièce, une couche de suie noire sur le sol.
Entre invectives, jurons et mots de reconfort le patron nous somme de nettoyer ce bordel au plus vite. Oui, mais voilà, on est pas techniciens de surface et ne sommes pas équipés pour. Qu'à celà ne tienne, il me remet sa carte de banque, son code et son trousseau de clés afin d'aller chercher le nécéssaire. Lui restant, tel un preux chevalier auprès de la dame choquée et tel un dragon furieux pour incéndier les malheureux qui tournaient en rond ne sachant par quel bout commencer.
Je parcours la ville, que je ne connais pas, en pleine heure de pointe, au volant d'une voiture dont la seule évocation du prix me donne le tournis à la recherche d'un magasin, superette, supermarché quelconque pour acheter les fournitures (c'est toujours lorsqu'on en a besoin que ces précieux établissements sont, soit fermés, soit situés à l'opposé de la ville)
Je m'acquitte de cette tâche en achetant, pour chaque homme de l'équipe, moi y compris, l'équipement complet de la ménagère de choc en phase de nettoyage de printemps et retourne sur le chantier.
Je distribue le matériel sous les remarques grinçantes du patron qui se demande à quoi cela sert d'avoir une voiture rapide si le conducteur n'est pas fichu de dépasser le 50km/h (sic).
Dans cette ambiance festive on commence le nettoyage intégral des trois étages, tandis que le patron emmène la dame, se remonter le moral, au restaurant d'à-côté.
Après DIX heures de nettoyage intensif avec des encouragements musclés du patron qui fait la navette chantier/restaurant on termine le boulot. On range les accéssoires sous une vingtaines de questions style: "Vous n'avez rien oublié? C'est sûr?"
On procède à la réception en compagnie du mari qui, lui, est rentré du boulot (la femme était restée au restaurant estimant que cela était au-dessus de ses forces). Chat échaudé craint l'eau froide, du coup ce qui devait être une simple visite des lieux s'est transformée en une véritable invéstigation policière. TOUS les coins et recoins du bâtiment ont été minutieusement vérifiés. Au bout de DEUX heures le protocole était signé et nous pouvions rentrer chez nous, ce que nous fîmes sans nous faire prier.
Une heure et demie plus tard, ayant ramené les hommes, je pouvais embrasser ma femme qui était au bord du déclenchement du plan ORSEC.
Je me déshabille pour prendre une douche et lance négligeamment mon pantalon dans un coin de la salle de bain. Ce dernier atterrit avec un bruit métallique qui me surprend.
A l'analyse il se revela que j'étais rentré chez moi avec la carte de banque et le trousseau de clefs du patron.
Ce dernier s'aperçut de cet inconvénient lorsqu'il voulu payer la note du restaurant (deux repas pour deux et un pour trois le tout agrémenté de nombreuses consommations entre les repas). Ses explications étant parues suspectes aux yeux du restaurateur ce dernier fit appel à la gendarmerie. Après s'être expliqué auprès des gendarmes ceux-ci intercédèrent auprès du restaurateur afin qu'il puisse appeler un membre de sa famille pour le dépanner.
Nous apprîmes tout cela de la douce et mélodieuse voix du patron le lendemain matin lorsque je lui remis ses biens.
Cerise sur le gâteau: le jour ayant changé, un papillon d'une éspèce très peu appréciée, ornait le parebrise de sa voiture lorsqu'il la récupéra.

Auteur:  Finrod [ Mar Aoû 30, 2005 5:17 pm ]
Sujet du message: 

les histoires de chantier, ça a l'air d'etre le repaire de Murphy :lol: :mrgreen:

Auteur:  Raistlin [ Mar Aoû 30, 2005 5:21 pm ]
Sujet du message: 

Il y a toujours le classique de la compagnie de démolition qui se trompe d'immeuble. :mrgreen:

Auteur:  Vae-primat [ Mar Aoû 30, 2005 10:30 pm ]
Sujet du message: 

Ou plus classique, surtout avec cette manie de tout faire sur le même moule, d'entamer les travaux sur un autre chantier :mrgreen:

Ou les matériaux qui se retrouvent sur un autre chantier alors qu'on les attend impatiemment pour débuter les travaux :evil:

Ou la camionnette qui tombe en rade en rase campagne alors qu'il pleut des cordes et que, comme par hasard, tous les GSM disponibles (3) sont à plat. :evil:

Ou la panne du groupe électrogène alors que la machine à projeter est remplie. Ce qui nous oblige à demonter ladite machine pièce par pièce pour la nettoyer sans compter les 30m de tuyaux. :evil:

Ou le classique débutant qui, une fois terminée la pose du carrelage, se retrouve coincé à un endroit qui l'empêche de sortir de la pièce. :mrgreen:

Et ce n'est qu'une partie des joies du chantier :mrgreen:

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